Tempeh, variations

J’ai donc fait plusieurs essais basiques de cuisine de mon tempeh.

Première constatation : l’odeur est totalement différente du tempeh du commerce. On sent bien la riche odeur de moisissure ainsi qu’une odeur plus fine de noisette. En le goûtant, je n’ai senti aucune amertume.

Donc on va faire simple, pour un premier essai, je vais juste le frire à la poële dans de l’huile d’olive avec un peu de curry saupoudré dessus.
Apparemment, mon tempeh est beaucoup moins gourmand en huile que celui du commerce, peut-être parce qu’il contient plus d’eau ?

Après dégustation, nous trouvons qu’il est bien moelleux dedans même s’il croustille dehors, ce qui est plutôt sympathique, mais j’ai envie d’y ajouter un peu de tamari, ce que je fais dans mon assiette. Je le trouve délicieux ainsi.

Deuxième essai, tout simplement frit à la poêle dans un peu d’huile de coco, puis arrosé de tamari à la fin de la cuisson. Rien à dire, c’est juste délicieux et parfait. Moelleux dedans, craquant dehors. Un goût de reviens-y.

Il m’en reste un tout petit peu sur les deux blocs que j’avais mis au frais, donc je décide d’en faire des lardons que je mettrai ensuite dans un taboulé.
Pour cela, je le coupe en petits morceaux que je fais frire dans un peu d’huile de coco. Je remarque aussi qu’il met plus de temps à dorer que du tempeh du commerce. A la fin de la cuisson, j’ajoute un petit mélange eau + tamari + sirop d’érable dans la poêle chaude. Quand tout est absorbé, c’est prêt. Et c’est bon. Très bon.

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